Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 567

  • VANVES EN CAMPAGNE : LE LOGEMENT, SUJET INCONTOURNABLE POUR LES COMMUNISTES

    Vous saurez tout sur les programmes d’ici la fin de la semaine puisque chacune des 4 listes devraient le rendre public, d’ici la fin de la semaine, grâce à des réunions publiques ou des distributions dans les boîtes à lettres ou à l'extérieur. La premiére d’entre elle , Vanves l’Humain d’Abord (FG/PC) organisait l’un de ses trois premières réunions thématiques sur le logement lundi soir à l’école Max Fourestier. Suivront la protection sociale le 4 Mars, l’écologie le 11 Mars 

    Le logement est devenu le sujet incontournable de la campagne, surtout en région parisienne, car il est devenu cher et même trop cher pour beaucoup, à l’achat comme à la location. Boris Amoroz tête de liste FG/PC avait invité Ian Brossat, adjoint au maire de Paris chargé du logement et de l’hébergement. Il a dressé un constat : les difficultés du logement sont liées au décalage entre l’offre limitée et la demande important avec pour résultats, des prix élevés. « Cette question est l’un des enjeux majeur de cette élection. S’il y a bien un sujet sur lequel la différence se fait entre une liste du gauche et une liste de droite, c’est bien celui-là, avec une différence d’approche » a-t-il déclaré en expliquant ce qu’une liste de gauche ferait du logement social bien sûr, en respectant la loi SRU ayant permis d’avancer en fixant un  objectif de 25% d’ici 2025, en préemptant. Elle mettrait en place un encadrement des loyers en obligeant les propriétaires à respecter un plafond,. Elle produirait du logement en accession à des prix abordables en dissociant le foncier et le bâti. Elle limiterait la location des meublés touristiques

    Boris Amoroz et ses co-listiers ont expliqué ensuite ce qu’ils voudraient développer sur la ville où le maire sortant n’a fait que du logement en accession, alors qu’il y a 1300 demandes de logements sociaux non satisfaites, que « le maire n’a pas pris sa part dans l’augmentation du logement social, préférant construire du privé, avec ses tarifs variant de 8000 à 10 000 € le m2, des résidences étudiantes à 750 € la chambre alors que nous voulons rendre la ville moins chére,  atteindre 30% de logements sociaux d’ici 2026 soit 800 qui s’ajouteraient aux 3100 existants. On compte modifier le PLU sur ce plan là, avec différents types dans des opérations immobilières ». Cette liste proposera une charte de la promotion immobilière qui sera son premier chantier, déjà développé dans une cinquantaine villes comme Malakoff qui permet notamment de limiter les prix, et aux promoteurs de trouver plus rapidement preneur comme le reconnaissent certains. Alors que Vanves a édicté un règlement pour contrôler et contenir le développement des meublés touristiques, il n’y a aucun contrôle, ni sanction : «Nous allons mette en place un service spécial pour s’en occuper ! On se préoccupera aussi du changement d’usage avec des compensations pour éviter de perdre des surfaces de location »  indique ses co-listiers en reconnaissant que c’est un enjeu majeur en prévision des JO de 2024

    Dans les échanges avec la salle, certains ont évoqué bien sûr l’absence d’équipements, de commerces, dans ces quartiers qui se construisent, comme au Clos montholon. D’autres ont demandé, qu’à chaque opération immobilière, soit prévu du logement social, quite à intégrer dans une résidence, du social et de l’accession comme cela se fait à Paris. D’autant plus que ses opérations immobiliéres privées sont réalisées sur des terrains publics appartenant à la ville (ex-conservatoire, ex-Sécurité Sociale) qu'elle a vendu. Enfin, il faut protéger les terres humides des pavillons, des parcs et jardins en respectant le COS de 10% dont la ville de Vanves s’est dédouané en inscrivant des exemptions dans son PLU

  • VANVES ET LES MUNICIPALES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE : Fake News

    A moins de trois semaines du premier tour, et après le retour des vacances, la campagne va vraiment commencer, même si chaque liste a tracté, fait du porte à porte durant ses derniers quinze jours. L’ambiance est aux fake news, surtout provenant de la liste de la majorité sortante alors que son chef de file qui s‘en plaint, est maître en la matière, groupies et supporters se mobilisant sur les réseaux sociaux.

    Extraits : «Avec Edou, il n’y aura plus de boite aux chocolats, ni de banquet du Nouvel An ! ». «Isabelle Debré soutient Séverine Edou parce que Gabriel Attal lui a promis un poste de ministre ! ».  « Avec Edou la navette municipale va être supprimée » etc… Ce qui est bien sûr faux, alors que peut être la navette redeviendra gratuite, par exemple, avec Edou alors qu’en tant que vice président de GPSO le maire sortant a institué sa tarification et qu’Issy les Moulineaux et Boulogne maintenaient la gratuité. Enfin, contrairement aux dires, Séverine Edou est en parfaite forme, aucunement découragée, et plus combative que jamais comme elle l’a encore dit à son staff de campagne ses derniers jours. Tout comme d'ignorer ses sornettes qui se retourneront contre leurs auteurs

  • VANVES PROTEGE LES DONNEES DE SES HABITANTS GRACE A LA RGPD

    Le règlement général sur la protection des données (RGPD)qui est entrée en vigueur en Mai 2018 s’applique aux collectivités territoriales comme Vanves qui doivent être en capacité de répondre aux demandes de leur administré sur l’utilisation de leurs données à caractère personnel, et le cas échéant, de donner suite à leur droit à l’oubli, avec en corollaire, la problématique de la durée de conservation de leurs données. Avec un gendarme : La CNIL (Commission nationale Informatique et Libertés).

    D’autant plus que l’administration en général et les collectivités en particulier ont de plus en plus recours à la dématérialisation de leurs services. Dans ce cadre, elles sont amenées à collecter de nombreuses données personnelles, pour la gestion interne de leurs services ou celles des missions dont elles ont la charge (par exemple : fichiers de personnels ou d’administrés, listes électorales, fichiers d’action sociales ou des associations, télé-services, contrôle d’accés par badge… etc.). En outre, dans certains cas, ces données ont un caractère dit sensible (origine ethnique, opinions politiques, données de santé…), ce qui implique des obligations et une vigilance accrue de la part des responsables de traitement. D’une manière générale, le RGPD renforce les obligations en matière de transparence des traitements et de respect des droits des personnes.

    Le Conseil municipal a décidé le 6 Février dernier d’appliquer ces dispositions en ayant défini les principes et les modalités de conservation des données à caractére personnel : Les données à caractère personnel sont conservées sur une durée suffisante pour assurer la sécurité juridique des actes administratifs pris par la commune et le CCAS dans le cadre de l’exercicede leurs missions de service public. Elle a été calculée sur les durées moyennes constatées d’un recours contentieux avec jugement en dernier ressort du Conseil d’Etat : 2 mois pour un recours administratif préalable obligatoire, 12 mois pour un jugement en première instance, 24 mois pour un appel de la décision, et pour une cassation, soit une durée de 5 ans à compter de la date d’entrée en vigueur d’un acte administratif (facture, contrat…). Ainsi, par exemple, le service de la petite enfance doit pouvoir justifier la prise en compte d’une assiette pour le calcul des dépenses et recettes auprésde la CAF pendant 3 ans.